Tetris DS

Qui ne connaît pas Tetris ? A moins que vous ayez sombré dans un état comatique durant ces 25 dernières années, vous connaissez obligatoirement le principe de puzzle game le plus connu et certainement le plus addictif de tous les temps.

Pour les ex-comatiques, je rappelle que le principe est d'empiler des pièces de quatre (tetra en grec, qui a donné tetris) carrés pour faire des lignes entières dans le "terrain de jeu" et ainsi ne pas arriver au plus haut, auquel cas, Game Over.

Alexey Pazhitnov, un russe (oui bin au cas où vous ne l'aurez pas remarqué...), a trouvé ce principe génial, et le plus étonnant, c'est qu'il n'a rien touché de l'argent qui a été fait avec l'un des jeux les plus vendus de tous les temps, Tetris, sur Gameboy.
Pas mal de personnes ignorent qu'en fait, le premier Tetris à être sorti est Tetris, sur NES, mais qui est passé totalement inaperçu par rapport à l'opus Gameboy.

Mais revenons à l'opus DS.
Quelles nouveautés offre cet opus ?
Pour tout dire, il apporte pas mal de choses. Premièrement, il possède six modes de jeux, décomposés pour la plupart en plusieurs variantes de règles.

Tout d'abord, le mode Marathon, qui correspond à un mode classique, qui peut être aussi joué avec des lignes handicap (le fameux mode b de l'épisode Gameboy), ou contre un ordi, dont on peut choisir le niveau.

Ensuite, le mode Attraper, qui consiste à faire tourner un bloc central de manière à former une surface d'au moins 4x4 blocs avec les pièces en chute, de manière à les faire exploser et ainsi détruire les métroïdes également en chute.

Vient après un mode Mission,  où le but sera d'accomplir les petits objectifs indiqués à l'écran supérieur (par exemple, faire deux lignes avec un tetriminos jaune, etc) tout en évitant d'atteindre la fameuse limite du Game Over. On a un temps limité pour chaque mission, qui sera petit à petit réduit au fur et à mesure que l'on passe les niveaux.

Il y a ensuite le mode Puzzle, où le principe est que l'on a un tableau et certaines pièces disponibles, et le but est de choisir la pièce et son orientation pour qu'au final, il n'y ait plus de ligne sur le tableau. À noter que 150 tableaux sont disponibles pour ce mode.

Le mode Toucher
Le mode Toucher, lui, est le seul qui nécessitera l'utilisation de l'écran tactile. Il consiste, dans son mode principal, à faire descendre une tour constituée de tetriminos jusqu'à ce qu'un bloc plein de ballons, situé au sommet de la tour, ne touche le sol. Pour faire descendre la tour, il faut bouger à l'aide de l'écran tactile les pièces qui la constituent, et leur faire faire des lignes, comment dans le jeu original.
On peut noter la présence d'une variante puzzle à ce mode, qui consiste, dans 50 tableaux, à atteindre les objectifs indiqués, comme par exemple faire une série de 6 lignes...

Et enfin, le mode Pousser, lui, peut se jouer contre l'ordinateur. Le principe est que l'on a au début deux blocs centraux, et le joueur situé en haut doit poser ses pièces de manière à faire des lignes et ne pas atteindre la hauteur limite sinon, c'est le drame. L'ordinateur, lui, doit faire la même chose de son côté, mais lui est placé en bas de l'écran. Chaque fois que l'un ou l'autre fait disparaître deux lignes à la fois, ou plus, le tableau se déplace vers l'adversaire, lui réduisant sa marge d'action.


Le jeu ne manque aucunement de contenu donc, mais on peut tout de même se dire que les modes vs ordi sont limites en solo, car l'ordi est soit stupide, soit l'équivalent d'un Tool Assisted Speedrunner (un article viendra là dessus, dîtes vous que c'est à la limite de l'imbattable). Mais c'est là qu'intervient le mode multijoueur ! Grâce au sans fil de la DS, le multi est à portée de beaucoup plus de personne que sur GameBoy, où l'on avait besoin d'un câble.

Multi à 4, on note la présence d'objets
On peut donc jouer à un mode Classique contre un ami, mais aussi contre trois amis, et au mode Pousser contre un ami. Mais on peut aussi faire tous ces modes en ligne ! Et il y a encore du monde sur le réseau !

Niveau gameplay, qu'est ce que le jeu apporte aux autres ? Bien plus de dynamisme. On constate l'apparition de la commande stocker, qui permet de prendre une pièce dans la réserve et de la ressortir à tout moment en prenant celle qui est en train de tomber. L'un des gros changements est aussi que lorsque la pièce est en bas du tableau, elle ne se pose pas tant que l'on aura pas arrêté de la faire bouger, ce qui rend le jeu plus dynamique, et qui permet de jouer en niveau 20, où les pièces apparaissent directement en bas, mais qui rend le jeu aussi fatalement plus facile ! Tout comme la commande stocker, qui rend le jeu plus fun, moins hasardeux mais beaucoup plus facile !

Pour les musiques et les graphismes... les backgrounds et les musiques sont en fait des remix de jeux Nintendo en fonction du mode auquel on joue. Chaque mode a son univers. Ainsi le mode Marathon correspond (principalement) à l'univers Mario, le mode Attraper à l'univers Metroid, le mode Mission à l'univers Zelda, le mode Puzzle à l'univers Yoshi, le mode Tour à l'univers Balloon Fight et le mode Pousser à l'univers Donkey Kong.


En conclusion, le contenu est présent, et justifie l'achat du jeu, mais malheureusement au bout d'un moment, on se rabattra uniquement sur le mode Marathon en infini, car le reste demeure un peu gadget... On peut quand souligner la présence du multi en ligne qui est très agréable, et les ajouts au gameplay, qui rendent le jeu dynamique, mais malheureusement simple... Attention ! Ça ne veut pas dire qu'il est impossible de perdre, mais simplement que c'est la plupart du temps par inattention, ou par lassitude...

Rainman

"Je ne porte pas de sous vêtement, ça c'est sûr..."

Ceci est l'une des phrases cultes du film Rainman... Ça fait rêver hein ?

Sérieusement, on traite ici d'un des films les plus attachants qui soient.

Au casting, Tom Cruise (que je n'aime définitivement pas...) et Dustin Hoffman (qui, lui, est au sommet de son art).

On va faire avec le nom des acteurs pour faire plus simple :
Tom Cruise a des problèmes avec sa société, et lorsque son père meurt, il découvre qu'il a un frère autiste, à qui tout l'héritage revient, ce qui représente la modique somme de trois millions de dollars. Il décide donc de prendre ce qui lui revient de droit, à savoir la moitié, en "enlevant" son frère. Il l'emmène avec lui dans son tour de l'Amérique pour réussir à lui soutirer l'argent. Mais les liens fraternels sont plus forts que tout, et notre ami Tom va, après mille et une galères, s'apercevoir que son frère est un surdoué, et va de plus en plus s'attacher à celui-ci.

Comme dit plus tôt, on se retrouve avec un Tom Cruise correct, un Dustin Hoffman incroyable, une musique sympathique (Hans Zimmer, de Inception, Sherlock Holmes, Pirates des Caraibes...), et une intrigue très intéressante et originale.

Le film ne manque pas d'émotions, mais, en plus, fait partie de ces films dont on a l'impression qu'ils prennent de plus en plus de puissance lorsqu'on y repense.

Bref, un film émouvant dans lequel Tom Cruise montre un bon jeu d'acteur et Dustin Hoffman nous montre sa trempe d'acteur légendaire, un certain humour discret, un scénar intéressant et original, tout ceci regroupé faisant un chef d'œuvre.

Joyeux anniversaire !

Aujourd'hui on fête l'anniversaire de l'un des pionniers de la musique : Paul Mccartney, ou Macca pour les intimes.

Ah ce cher Macca... pour ceux qui sont dans le coma depuis ces 60 dernières années, il s'agit de l'ex leader des Beatles... Et c'est là que les fans vont me jeter des pierres : "Oui mon oeil, le leader des Beatles c'est John pas Paul, arrête de dire n'imp !". En fait, je considère Macca comme le leader des Beatles à partir de 67, à savoir le formidable album Sergent Pepper's Lonely Heart Club Band.

Le bassiste, pianiste, guitariste, contrebassiste, batteur, trompettiste, chanteur, auteur, compositeur fête aujourd'hui ses 69 ans et on peut dire qu'il les porte bien !

Le bougre a tellement rencontré de succès qu'il est le possesseur de titres que nul autre n'a remporté jusqu'à lors. Il peut clairement prétendre avoir fait des collaborations avec les plus grands chanteurs et musiciens du siècle dernier, et aussi peut clairement dire qu'il a été l'objet d'inspiration de nombreux musiciens devenus ou pas célèbres de nos jours.

So, happy birthday sir McCartney, you're a legend...

Flash info : Dernière technique de hack MSN

Juste pour vous prévenir de la dernière mode pour hacker votre MSN, ou/et vous piquer de pepettes.

Le contact qui s'est déjà fait hacker, est en fait le hacker, normal. Il vous demande de faire un formulaire sur leboncoin.fr et vous fait tourner en bourrique. Après avoir tout rempli, il vous dit de mettre votre mot de passe MSN dans le formulaire pour que vous vous en souveniez. Seulement, le formulaire de confirmation est envoyé à son adresse mail, et il a votre mot de passe. Le tour est joué. Donc, le truc à faire c'est de la faire tourner en bourrique et de le faire aborder des sujets qu'il ne veut pas, comme "pourquoi est-ce que tu ne peux pas le faire toi le formulaire ?".

Peu après, qu'il ait réussi ou pas à avoir votre password, il va vous demander du forfait 10 en lui donnant le code. Bien évidemment il ne faut pas le faire, et vous propose de vous montrer "ses vidéos" en échange. Évidemment, on sait ce que ça laisse suggérer, avec la photo de jeunes femmes à moitié dénudées. Il s'agit bien sûr d'un fake, donc refuser, et bloquer, voire supprimer, et contacter son ami !

Il y a quelques éléments qui peuvent vous mettre sur une piste, comme le fait que votre ami s'appelle Alexandre, alors que le hacker fait comme si c'était une fille...

Starfox Command

Sur DS, après deux ans depuis Starfox Assault, sur Gamecube, arrive Starfox Command. Une chose était certaine, la série allait encore prendre un tournant différent, comme elle l'avait fait sur Gamecube. Ce qui était à l'époque une série phare de Nintendo n'en est malheureusement plus qu'une secondaire.

Mais que nous propose cet opus sur DS ?
Eh bien pour ceux qui auraient un peu fouillé, ils remarqueront dans le principe d'énormes similitudes avec Starwing 2, qui n'est jamais sorti, mais qui avait été fini à 95% par les développeurs, malheureusement abandonné pour l'épisode Nintendo 64 : Lylatwars. Une rom est trouvable sur internet, cette fois-ci complètement fini, et des petits malins l'ont cartmodé pour pouvoir y jouer dans leur salon.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas, il s'agit de batailles dans une arène en déplacement libre. Il faut abattre les cibles principales et récolter leur insigne pour continuer à évoluer.
À ce côté action s'ajoute un petit côté gestion, dans une map avec brouillard de guerre, où  l'on rencontrera des ennemis, détruira des bases, et tout ceci en passant en "mode action" avec les différents vaisseaux qui nous sont donnés.

L'action se passe bien après toutes les aventures de nos héros favoris, quand tous ont refait leur vie, et se sont séparés. Cela donnerait presque un côté mature et parfois dark au jeu, mais il ne faut pas exagérer.

Quant au gameplay, il s'avère efficace, dans les loi de Nintendo sur sa console (une main sur les boutons, une main sur l'écran). Le stylet va servir à définir l'orientation du vaisseau, et les boutons vont servir à tirer. Chaque vaisseau est assimilé à un personnage, et a ses propres propriétés, comme un tir différent, un nombre de bombe, une barre de boost plus ou moins grande, idem pour la barre de santé...

Dans le jeu, il y a neuf fins différentes, qui mettent toutes entre deux et trois heures à faire, à part la première fois, qui durera un peu plus longtemps pour s'adapter au jeu.

À noter un mode multijoueur qui aurait pu faire un malheur, mais qui a bien trop vite été délaissé par les joueurs et qui s'est donc vite retrouvé désert... Dommage, il aurait pu s'avérer tout aussi intéressant que le multi de Metroid Prime Hunters...

On découvrira de nouveaux personnages, on en retrouvera d'anciens en piteux état, ou qui ont terriblement changé, on sera même amenés à faire équipe avec des protagonistes assez improbables.

Le jeu se déroule sur plusieurs planètes différentes, avec des environnements différents, tous assez beaux, mais pas incroyables... seulement l'environnement de sable et de coucher de soleil sur l'océan qui sont sublimes. Quant aux musiques, elles sont assez bonnes, mais ne marquent pas assez, à part les musiques reprises d'anciens épisodes de la série.

L'un dans l'autre, le jeu n'a pas grand chose à se reprocher, mais son léger manque de contenu (pas de mode combat contre l'ordinateur) et le fait qu'il n'ait rien de vraiment extraordinaire le leste pour le garder dans la catégorie "Pas mal, je me referais une partie un de ces jours !".

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Jean-Jacques Goldman

Tout le monde a plus ou moins entendu parler de Jean-Jacques Goldman. Cet artiste est auteur/compositeur/interprète français, né a Paris le 11 octobre 1951, il a souvent joué en duo ou trio avec Carole Fredericks et Michael Jones où ils formèrent le groupe Fredericks Goldman Jones.
Bachelier (qui possède un baccalauréat) en 1969 poursuivit ces études à l'Edhec à Lille où il en sort en 1973 , il a fondé avec l'aide de son frère Robert la maison de production JRG.

Mais avant de devenir un chanteur solo, il intégra plusieurs groupes. Le plus connu reste Taï Phong, il rejoint ce groupe en 1975. Au départ, il ne devait pas chanter avec le groupe mais il a remplacé ce chanteur qui était malade. Il commence leur succès avec la chanson "Sister Jane" mixé par Andy Scott, chanson tiré du premier album du groupe. Mais le réel succès commence en 1976, où il sort un premier 45 tours en solo et le second 45 tours en 1977. En 1978, Jean-Jacques Goldman ne souhaite pas participer à la tournée du groupe et ce fais remplacer par Michael Jones mais sort en revanche un troisième 45 tours en solo. En 1979, le groupe se sépare.

En 1981, il commence sa carrière en solo en sortant son premier album où est la chanson "Il suffira d'un signe" tiré de l'album "modé". En 1985, il chante en duo français/anglais avec Michael Jones, "Je te donne" tiré de l'album "Non Homologué" , chanson qui restait au sommet du top 50 durant 8 semaines. Dans ce même album, il y a "Pas toi" et "La vie par procuration", cette chanson a été le premier titre live a avoir atteint le sommet du top 50. En 1990, il s'entoure de Carole Fredericks et Michael Jones et signent leur premier album en donnant au groupe les trois noms, Fredericks Goldman Jones. En 1993 paraît l' album Rouge, une partie de cet album a été tourné à Moscou.

En 2004, il compose une chanson en honneur a son ami, Michael Jones. En 2005, il écrit trois titres (textes + musiques) et deux textes pour Patrick Fiori. En 2009, il adapte deux chansons de Michael Jones, "Comme un père" et 'D'hôtels en hôtels".

Passons maintenant a ses musiques célèbres,
- "Quand la musique est bonne" a été l'un de ces plus gros succès avec plus de 200 000 albums vendus, tiré de l'album "Minoritaire". (1982)
- "Comme toi" extrait lui aussi de l'album "Minoritaire" (1983)
- "Il changeait la vie", extrait de "Traces" (1988)
- "La vie par procuration", extrait d'aucun album car il a été interprété en public. (1986)
- "Encore un matin", extrait de l'album, "Positifs" (1984)
- "Au bout de mes rêves", extrait de l'album "Minoritaire" (1983)
Et beaucoup d'autres chansons aussi célèbre que celles d'au dessus, mais il y en tellement que c'est impossible a toutes les citées.

Jean-Jacques Goldman fait aussi parti des restos du coeur. En 1986, Coluche, le fondateur des restos du coeur, lui demande de composé une chanson pour les restos du coeur et Jean-Jacques Goldman a composé "La chanson des restos" . En 1989, une première Tournée Enfoirés voit Jean-Jacques Goldman, Michel Sardou, Eddy Mitchell, Véronique Sanson et Johnny Hallyday parcourir la France pour récolté des fonds pour les restos.

Depuis les années 1980, il a (co)-écrit et/ou (co)-composé 125 chansons pour plusieurs interprètes, Céline Dion (29 chansons) , Johnny Hallyday (13 chansons), Patrick Fiori (10 chansons) et beaucoup d'autres interprètes.

Le Piratage

Avant de commencer cet article, je rappelle que le piratage, téléchargements illégaux et tout ce qui en suit est puni par la loi. Nous vous déconseillons donc de pirater, télécharger, copier... tout ce dont vous n'en n'avez pas le droit. Vu que nous touchons à un sujet sensible, il faut que tout soit clair. On ne vous encourage aucunement à effectuer l'une de ces actions.

Maintenant que nous sommes libérés de tous les doutes possibles, il est à préciser que chacun a le droit de penser ce qu'il veut à ce sujet comme à tous les autres.

Pour simplifier, pour désigner tous ces termes, nous utiliserons le mot "piratage".

 Tout d'abord, qu'est-ce que représente le piratage et qu'est-ce qu'il a toujours représenté ?

Le piratage, c'est mal, c'est ce que l'on nous dit à longueur de journée, mais qu'on soit tous d'accord, celui-ci a toujours été pratiqué, et partout !
Qui n'a pas eu de grands-parents qui copiaient des vinyles des Beatles, d'Elvis ou de Bob Dylan ? Et qui n'a jamais eu d'amis qui avait toute une panoplie de films gravés sur CD/DVD ?

Toutes les générations ont eu leurs "pirates" et tous ont fait avancer les choses, au détriment des créateurs.

En effet, tout cela a contribué à un rabais des prix, à une sorte de "concurrence" où l'on choisissait de rester dans la loi en payant un certain prix...

Aujourd'hui, on dispose de maintes manières de pirater (Warez, P2P, Torrents...) mais il ne s'agit plus de la même chose.

Et pour cause, tout ceci est dématérialisé. Et la dématérialisation (qui fait assez parler d'elle en ce moment) fait perdre en valeur tout ce dont elle traite.

Et maintenant, je sais que certaines personnes pensent que le piratage n'est parfois pas toujours injuste, mais quand on voit que le jeu le plus piraté de 2009 est World of Goo, un petit jeu indépendant pas cher, on se pose des questions. Oui, car cela ne va aucunement entretenir une concurrence avec le marché, vu que les indés sont dans une part beaucoup plus reculée de celui-ci. Cela va donc décourager les créateurs au profit des producteurs.

À vous de vous forger un propre avis sur la question, car de notre côté, nous n'avons aucunement la prétention de pouvoir vous dire ce qu'il faut penser, et de plus, nous n'en avons pas le droit sur un sujet aussi sensible, sauf si l'on vous dit que le piratage c'est mal...
Mais de voir que le jeu le plus piraté a été World of Goo, et que dans les films les plus téléchargés se trouvent Inception, Shutter Island, eh bien c'est dommage, car toutes ces œuvres ne le méritent pas forcément...

Mr. Tambourine Man (Bob Dylan)

L'une des chansons les plus connues de Bob Dylan est très certainement son succès Mr. Tambourine Man. Il apparaît sur l'album Bringing It All Back Home en 1965.

Il s'agit d'une chanson très simple à jouer, à trois accords de guitare. Cette guitare accoustique (folk dans la version originale) est accompagnée d'une guitare électrique assez reculée. S'ajoute à cela le (magnifique) chant de Bob Dylan et son fameux harmonica.

Notre interprète préféré nous omntrait bel et bien son talent de parolier et de mélodiste avec cette chanson.

Par cet aspect, elle devient une des chansons favorite des joueurs de guitare débutants, car simple à jouer, dynamique et entraînante.

Il est très difficile de la trouver en version originale, en revanche, on peut trouver assez facilement la version du Newport Folk Festival, où il joue de la guitare classique et de son harmonica pour interprêter sa magnifique chanson.

Il y a des petites particularités dans cette chanson, comme le fait qu'elle commence par un refrain. Elle est aussi assez longue, car dure plus de 5 minutes (oui je sais, à la même époque Pierre Perret les faisait toutes longues, mais quand même !).

Voici la version originale :


Les Byrds ont aussi fait une reprise de cette chanson, beaucoup moins longue, qui a fait encore plus de succès que l'originale, et commence par un riff maintenant très connu :


La caméra dans le jeu vidéo

En effet, il s'agit d'un point sur lequel on ne se questionne pas toujours le fonctionnenment, même s'il en est souvent question dans un jeu-vidéo.
Il s'agit pourtant d'un point très important dans un jeu.

Déjà, il faut savoir qu'il existe plusieurs types de caméra. On parle de trois caméras différentes : première, deuxième et troisième.

Et ceux-ci correspondent plus ou moins aux fameux trois points de vue de la narration : interne, externe et omniscient.

La première présente une vue à travers les yeux du personnage, comme dans les Call of Duty pour les citer, mais aussi dans les Metroid Prime et bien d'autres jeux. Cette vue accroît la nervosité de l'action et l'immersion physique du joueur, car elle permet à celui-ci de se prendre pour le personnage qu'il contrôle et de ressentir parfaitement les limites de celui-ci. Cela correspond plus ou moins au point de vue interne de la narration.

Le deuxième, elle est majoritairement utilisée dans les STR, à la Age of Empire. Elle est indépendante des personnages et peut aller d'un endroit à un autre en un rien de temps. Certains disent qu'elle correspond plus ou moins à la vision de Dieu, comme dans Black & White. Elle correspond donc au point de vue omniscient, qui sait tout, et voit tout.

La troisième est souvent utilisée dans les Adventure Games les jeux de plateformes et autres, comme les Zeldas 3D, les Marios 3D pour donner des exemples parlants. Elle reste proche du personnage et y est comme lestée. Elle permet de voir ce qui se passe au loin, de mieux évaluer les distances, de voir les ennemis qui nous entourent... Cette vision necéssite un certain travail, car les animations et la modalisation du personnage sont visibles de près contrairement aux deux autres visions. Si elles sont ratées, alors le joueur doit se farcir ces horreurs pendant tout le jeu. Cette caméra correspond au point de vue externe de la narration.

Le tout est de savoir faire le bon choix et de bien gérer ce choix dans le jeu, car si la mise en scène ne correspond pas, ou que le gameplay n'est pas adapté, une bonne partie du jeu est foutue en l'air.

Meteos

Ah, le puzzle game, un genre tout a fait atypique, mais tellement jouissif... Parmis les plus connus, et les plus réussis, bien évidemment, celui qui revient le plus souvent est Tetris, qui a été un succès monumental et qui a mis d'accord toutes les générations jusqu'à aujourd'hui : Toutes les consoles ont eu leur Tetris (même dans les avions, ce jeu est disponible !).
Mais comme dans tous les autres genre, lorsqu'un jeu connaît un tel succès, il a tendence à éclipser les autres...

Malgré l'ombre que Tetris DS lui a fait, Meteos a connu un petit succès silencieux. En effet, il s'agit là d'un petite perle du genre.

Il s'agit d'un puzzle game au principe assez audacieux, car assez tiré par les cheveux... Sur un écran à la Tetris, des blocs de différentes natures tombent un par un aléatoirement. Le but est de faire en sorte qu'au mions trois blocs semblables soient en ligne ou bien en colonne pour qu'ils entrent en combustion et reviennent par où ils sont venus.

Le principe, d'abord difficile à saisir est très addictif, car tout repose ensuite sur des "combos" pour faire plus de points et même peut-être vider l'écran entier !

Le jeu est bien jouable au pad, avec la croix et les boutons, mais ce n'est clairement pas assez nerveux, et le joueur normalement constitué préfèrera alors utiliser le stylet qui permet une maîtrise bien plus précise et plus ergonomique.

Il existe plusieurs modes de jeu : Le mode classique, contre soi-même ou bien contre une IA, le mode Déluge, qui correspond au mode survival, le mode Hyper-Espace, qui peut s'apparenter au mode aventure de Super Smash Bros Melee.

En parlant de Super Smash Bros Melee, personnellement, j'ai remarqué de nombreuses similitudes dans l'apparence et le fonctionnement de certains menus des deux jeux (Sound-Test, Stats, Bonus/Armes, Boutons du menu...), mais peut-être ne sont-ce que des illusions...

Un menu achat permet, comme son nom l'indique, d'acheter des planètes (qui font changer le gameplay d'une manière ou d'une autre à chaque fois), des bonus, et autres grâce à des matériaux récoltés (les blocs envolés) lors de nos parties.

La mode Hyper-Espace nous offre plusieurs fins, et l'on débloque des bonus si l'on voit les 12 fins du jeu.

En conclusion, Meteos, malgré son petit succès que nous qualifierons de silencieux, n'a pas eu la renommée qu'il a mérité, et reste dans le bac des perles trop peu connues de la catégorie puzzle game.
Il s'agit pourtant d'un jeu à avoir pour le possesseur de DS !

Enter The Matrix

Quelle trilogie que nous avons là ! La trilogie des Matrix a tout simplement révolutionné le monde du cinéma, des films d'action.

Ghost, armé de sa moustache et de sa barbichette
Lors du deuxième opus de la trilogie des films, un jeu-vidéo est venu en complément pour combler le manque de temps qu'il y avait sur Matrix Reloaded. Ainsi, on comprend mieux ce qui se passe et on contrôle deux acteurs principaux de la rebellion : le capitaine Niobe, à la tête du Logos, le plus petit vaisseau de la rebellion, pilote hors-pair autant dans la Matrice que dans la réalité, et le lieutenant Ghost, faisant partie de l'équipage du capitaine Niobe.

Dès le début du jeu, vous aurez donc le choix entre les deux personnages, qui auront à première vue à peu près les mêmes capacités et les mêmes niveaux, mais on s'aperçoit finalement que quelques coups diffèrent et que des niveaux que l'un ne fera pas sera présent avec l'autre, ou bien une différence d'itinéraire...

Passons au gameplay, et nous allons voir que s'il y a bien une chose que l'on ne peut pas enlever au jeu, qui n'est pas exempt de défauts, c'est bel et bien sa fidélité aux films. Tout grand fan de Matrix remarquera qu'au moins 80% des animations sont tirées de scènes du films, que ce soit des coups, des esquives, acrobaties, sauts, prises. Le fan sera donc aux anges de pouvoir faire les mêmes coups que dans le film, de pouvoir courir très facilement sur les murs comme Trinity, de faire le même saut que celle-ci du haut de l'immeuble à la fin de Reloaded... En plus des coups à mains nues, on peut utiliser des armes à feu, et les coupler à des coups au corps à corps. Le tout se manie plutôt bien, même s'il faut un temps pour accepter la jouabilité.

Au scénario maintenant, eh bien là encore, la fidélité est présente, et on comprendra donc où va Niobe pour sauver le Neb', on refera des scènes cultes du film, comme le sauvetage de Morpheus avant de neutraliser l'agent... On voit donc le film défiler devant nous, avec comme acteur principal Niobe, ou Ghost, qui sont sous notre contrôle. En plus de ça on a droit à des scènes inédites au jeu, mais qui complémentarisent le scénario du film.
On reconnaît ici un coup que Smith a fait à Néo dans le premier film

La fidélité du jeu ne s'arrête pas là : les musiques cultes du films sont reprises dans le jeu, mêmes les mechanismes de bases du jeu sont fidèles au film. En effet, en jeu, on distingue deux jauges, une jauge verte, de santé, et une jauge jaune/orange, dite de concentration. En usant de cette jauge, on peut ralentir le temps, gros clin d'oeil au "bullet time" du cinéma (série de plusieurs photos, tournant autour de la scène, faisant ainsi des mouvements de "caméra" impossibles et extrêmement rapides), et ainsi, une nouvelle panoplie de coups s'ouvre à nous. En plus de ça, dans ce "mode", on est plus résistant, puissant et on voit les balles passer devant nous, exactement à la manière du film, dans une espèce d'ondulation.

La fidélité va même jusqu'à la navigation entre les menus. Lorsqu'un menu se charge, on voit une étoile zoomer ou dézoomer, comme dans l'écran de l'architechte, et comme la lampe torche du policier dans le premier film.

On note bien entendu, en plus des protagonistes, la présence des agents commes ennemis presque immortels (à part en les faisant tomber ou en utilisant le sabre).

Dans le menu, on note la présence d'un mode Hacking, ou Piratage. Il permet, comme son nom l'indique, de pirater la Matrice. Ici, on prend donc la place de l'opérateur, et on peut naviguer dans les codes. En faisant une série de manipulations, on peut obtenir des bonus, comme des messages des frères, des acteurs, ou mêmes des personnages eux-mêmes ! On peut aussi débloquer un sabre, mais après une bonne après-midi de manipulations ! À préciser que si vous n'êtes pas anglophone, il vaut mieux s'en remettre à une soluce si vous voulez obtenir cette arme... On peut aussi utiliser des cheats par ce mode, comme Infinite Ammo, Health, Focus...
On dispose d'un bonne panoplie d'armes à feu

Mais finalement, est-ce un bon jeu ? Oui, mais non. Le jeu n'a que très peu de choses à proposer, à part du fan service. Si l'on ne connaît pas Matrix, premièrement on ne peut rien pour vous, deuxièmement vous ne comprendrez pas l'intérêt du jeu. Mais il propose assez de choses au fan pour qu'il s'amuse dessus. Si vous hésitez entre ce jeu ou un Phoenix Wright, un Layton ou autre, évidemment qu'il ne faudra pas prendre Enter The Matrix...

Le Discours d'un Roi

Un prince, fils du roi d'Angleterre, doit parfois parler au nom de son père devant des milliers de personnes. Malheureusement, il est pris de bégaiement sans arrêt, lui empêchant de pronnoncer correctement.

Ceci est le scénario du film "Le Discours d'un Roi". C'est peut-être loin d'être attrayant, mais c'est un parti pris plus que réussi que nous offre Tom Hooper, réalisateur de ce film.

Une annonce aussi banale, le film a fait un mini succès caché, malgré les quatre oscars qu'il a reçu aux cérémonies.

En effet, ce film ne nous offre aucune action, aucune peur, mais réussit quand même à captiver le spectateur, en grande partie grâce à son jeu d'acteur. C'est Collin Firth qui joue le premier rôle, et nous en met plein la vue de son talent.

Le prince est contraint de devenir Roi...
Comme dit, le scénario peut sembler annecdotique, mais il est extrêmement bien ammené, et nous procure des émotions, mais pas des émotions faciles, comme mettre une musique dramatique et faire mourir un protagonniste, pas de larmes à chaque scène...
Le prince va voir tous les orthophonistes qu'il peut et va en trouver un peu orthodoxe qui sera le meilleur. La plus grande partie du film est basée là dessus, sur cette histoire qui va se terminer en amitié sincère... Parallèlement, le roi meurt, et son frère devient roi, mais reniera son devoir et donnera son pouvoir au héros...
En plus de ça, le film est très ancré dans le contexte historique (l'ère Nazi, le début de la guerre entre Angleterre et Allemagne...) ce qui en fait un élément encore plus touchant.

En plus d'être ancré dans l'histoire, le contexte est très bien reproduit (pluie épaisse, typique d'Angleterre, fog très épais, typique d'Angleterre... Bon ok j'arrête... Amis Anglais je vous aime ! =) )

Le film dure deux heures (1h58min) sans pour autant que l'on s'ennuie pendant ne serait-ce que cinq minutes dans le film.

Va-t-il réussir à parler sur les ondes de la BBC ?
La musique grandiose d'Alexandre Desplat est à retenir car elle correspond parfaitement à l'action du film.

Le film jouit aussi d'un humour très fin mais omniprésent tout le long du film, et le rend encore plus agréable à regarder.

Le tour de l'article est vite fait, car tout est extrêmement simple, mais c'est un film à voir, malheureusement, cet article arrivera spurement trop tard...


Je terminerais l'article en disant qu'il est à déplorer que des films aussi réussis ne soient pas reconnus par le public à cause de son thème...

La guitare

Aujourd'hui, on va exercer un cours très simple sur un instrument des plus populaires, des plus demandés et des plus joués : La guitare.


On vous épargnera les détails historiques, commençons donc par la compisition. Un guitare est un instrument qui possède généralement six cordes (il existe des variantes, la 12 cordes en est un exemple) qui produisent des sonorités différentes en fonction de l'endroit où on la pince avec la main gauche (pour les droitiers). La sonorité de ces cordes change aussi en fonction de leur matériau : une guitare classique a trois cordes métalliques et trois cordes en nylon, une folk en a six métalliques et une électrique six métalliques, mais le son produit est en fait amplifié par des micros, et non pas par une caisse de raisonnance. Comme tout instrument à cordes, elle se désaccorde, et il faut donc la réaccorder régulièrement, voir la re-corder pour remédier à cette rouille provoquée par la transpiration grasse de la main du guitariste. Pour produire une note, il faut bien évidemment gratter la corde au niveau de la rosace (micros pour les électriques) avec la main droite (encore une fois pour les droitiers).

Mais, pourquoi la guitare est aussi répandue ?

Bob Dylan "Blowing in the wind" juste avec une guitare
Eh bien pour plusieurs raisons. Predmièrement, sa taille, en effet, elle est suffisament petite pour être transportée. Deuxièmement son prix, car là où pour un piano il faut compter dans les 1500-2000 euros minimum, pour une guitare on a à dépenser entre 50 et 200 euros pour les plus chères (en accoustiques), et pour une électriques environ 200 euros pour pouvoir commencer à s'amuser.
Enfin, l'intrument permet de jouer beaucoup de morceaux, et d'en adapter d'autres. De plus, les plus grans chanteurs ayant utilisé cet instrument, certains fans voulant imiter du Bob Dylan, des Beatles... se sont donc penchés sur la guitare pour reproduires des Mr. Tambourine Man, Yesterday...

Les différentes façon de jouer ?

Le monde des guitariste est souvent coupé en deux : les guitaristes rythmiques et solistes. La rythmique consiste (la plupart du temps) à jouer une série d'accords, ou d'arpèges pour accompagner le chant, tandis que le solo consiste (encore une fois, la plupart du temps) à jouer une série de notes qui comblent la chanson pendant que le chanteur ne... chante pas, cela permet de couper la chanson qui est généralement toujours basée sur le même système binaire (Couplet, Refrain, Couplet 2, Refrain, Couplet 3...). À noter que la grande majorité des solos de guitare sont à l'électrique.

Les grands noms de la guitare ?

  • Eric Clapton qui a fait des chansons très populaires (comme Laila), ou a aidé d'autres personnes dans des morceaux (While My Guitar Gently Weeps - Beatles) est considéré comme l'un des grands guitaristes connus à ce jours.
  • Django Reinhart, l'un des plus grands jazzman de tous les temps, s'est illustré dans le jazz manouche après avoir inventé une façon très particulière de jouer car il ne pouvait utiliser certains doigts.
  • Jimi Hendrix lui aussi considéré comme l'un des meilleurs guitaristes de tous les temps...

La musique dans le jeu vidéo

Comme nous le savons, le jeu-vidéo est un art (oui, c'est un art) qui en regroupe des critères d'autres arts :

  • Le scénario, tiré  du cinéma
  • La bande son, tirée de la musique, et du cinéma (pour les bruitages)
  • Le graphisme, à la fois tiré de la pictographie, et du cinéma, pour la vidéo
Il propose aussi d'autres points qui lui sont propres, comme la durée de vie, l'interactivité...

Mais, parlons aujourd'hui de la musique !

La musique dans le jeu vidéo, à quoi sert-elle ?

Eh bien, elle sert à plusieurs choses. Premièrement, à déclencher une émotion choisie en fonction de la scène et de la situation.
On se retrouve avec une musique triste lors d'une mort, ou une musique nerveuse pendant un stage particulièrement difficile, ou un boss...

Dans beaucoup trop de jeux, la musique est négligée, mais elle est d'autant plus importante dans des styles comme le RPG, où la musique nous fait avancer, avec le scénario, malgré la lassitude des combats à répétition, et elle nous fait patienter lors des phases d'attente et nous relance dans l'action dans un Shoot 'em up, malgré les vies perdues et les niveaux recommencés...

Reparlons des émotions... Dans un jeu-vidéo, on a des émotions fortes (tristesse lors d'une mort...) et des émotions passives (attachement à un jeu, un personnage, dans le subconscient).
La musique va servir, en plus de créer d'autres émotions, à sceller celles-ci, et ainsi, c'est principalement grâce aux musiques que l'on se souvient d'un jeu-vidéo.

On remarque aussi que la plupart du temps, la qualité des musiques d'un jeu correspond plus ou moins à la qualité du jeu lui-même.

Un jeu dont les musiques seraient inexistantes, serait un jeu sans grande émotion, dont on ne se souviendrait pas... Voilà l'intérêt de la musique dans le jeu-vidéo.

Entre la 2D et la 3D dans le jeu vidéo

Entre une dizaine et une vingtaine d'années auparavent, le jeu vidéo se voyait révolutionner par un concept simple : la 3D.

Désormais, nos machines étaient suffisament puissantes pour gérer les trois dimensions à la fois. Mais finalement, cela a-t-il été bénéfique à l'avancement du jeu vidéo ?

Metroid Prime, l'un des meilleurs passages à la 3D
Comme tout le monde le sait, les débuts de la 3D dans le jeu vidéo ont été plus ou moins catastrophiques, mais certains jeux sont sortis du lot. Pensons par exemple à The Legend of Zelda : Ocarina of Time et Super Mario 64, sur Nintendo 64, ou encore Starwing (un cas assez particulier je l'accorde), sur SNES. Mais il y eu aussi des drames inommables...

Mais avec le temps, on a réussi à maîtriser - à peu près - la 3D.
Mais doit-on préférer la 3D à la 2D ? La 2D est-elle morte ?

Revenons un peu en arrière. Durant cette période, l'univers vidéoludique plongeait dans un autre monde. Un monde nouveau, où tout était à refaire. Un monde où les textures pixelisaient, un monde où la caméra n'en fait qu'à sa tête, un monde incontrôlé...

La 2D, elle, subissait l'effet de mode que procurait la 3D, et se vit très vite délaissée. Pourtant, on commençait à vraiment bien maîtriser la 2D ! Les jeux étaient beaux, fluides, jouables, et pas de problèmes de caméra !

Non ! Les développeurs aiment le changement, et la 2D subsistait grâce à de rares jeux rebelles...

Depuis, les jeux se font de plus en plus beaux, de plus en plus fluides...
La 2D vit encore avec des jeux comme les jeux de plateforme : Donkey Kong Country Returns, New Super Mario Bros., mais aussi avec des jeux de versus fighting : Street Fighter 4, Marvel vs. Capcom, Tatsunoko vs. Capcom.

World of Goo, un jeu indépendant en 2D
Mais il reste un type de jeux qui est très à la mode en ce moment, et qui utilise la 2D : Les jeux indépendants. Pensons à Super Meat Boy, World of Goo, Braid, Limbo...

Quant à  la 3D, qu'en advient-il ?

Eh bien, la 3D représente la majorité des jeux actuels. Que ce soit les FPS, TPS, FPA, jeux d'aventure, RPG, tous ces genres sont passés majoritairement à la 3D.

Alors que choisir entre 2D et 3D ?
Il n'y a aucun choix à faire, les deux sont à notre disposition. Mais la 2D, en plus d'être simple, plus pratique à jouer et à programmer, a quand même un avantage de taille : son âge.

En effet (j'adore ce début de phrase), depuis le début des jeux vidéos, on fait de la 2D, alors que la 3D est toute jeune.

Mais, alors, une question subsiste : Pourquoi faire de la 3D alors qu'on maîtrise beaucoup mieux la 2D ?

La réponse : Comme dit plus tôt, c'est un effet de mode ! La 2D c'est clairement démodé ! Le fait de dire "Vivez une expérience inoubliable en 3D" sur la jaquette fait bien mieux, le commerce agit sur tout art, quel qu'il soit, le jeu vidéo y compris.

En conclusion, la 3D est de plus en plus populaire, au dépends de la 2D. La 2D survit grâce à des jeux flash, indépendants, mais elle se fait de moins en moins...

La série Warioware

En 2003, Nintendo nous pond le premier épisode de la série WarioWare, qui commence donc sur GBA. La série connaît ensuite des migrations sur de nombreuses consoles : Gamecube, DS, Wii...

Une mise en scène avant la série de jeux
Dans tous les épisodes de la série, le but du jeu est d'enchaîner des mini-jeux débiles, créés par Wario, ayant pour seul but de se faire le plus d'argent possible.

Lorsqu'on parle de mini-jeux, il s'agit ici de jeux durant en moyenne 5 secondes, mis à part les boss !

Le scénario, déjà évoqué, est assez ridicule, mais s'assume complètement, tout comme le jeu tout entier, car il s'agit finalement plus ou moins d'une mise en abîme.
Nous avons donc un jeu débile, qui n'a aucune autre prétension que d'être un jeu débile dans lequel on joue à une succession de jeux débiles.

L'intérêt des jeux est assez limité, si ce n'est de faire passer le temps... Mais ils ne sont absolument pas faits pour autre chose !
Comme dit plus tôt, il n'a aucune autre prétension que d'être un jeu-vidéo.

Dans ces mini-jeux, qui se jouent en fonction du support (boutons de la manette, stylet, micro, mouvements...), on retrouve énormément de clins-d'œil. Cela peut aller de vieux jeux emblématiques de Nintendo à un mini-jeu où l'on joue un personnage qui joue à un mini-jeu que l'on pouvait déjà jouer dans un épisode précédent...

En fait, on suit plusieurs personnages différents, avec chacun leurs scénario (ne vous attendez à rien de ce côté, l'exemple type c'est un garçon qui adore jouer aux jeux oldies, qui joue trop et qui arrive en retard à l'école...), et chacun leurs types de jeux. On peut donc choisir entre tourner, déplacer, appuyer, vieux jeux etc.

Le jeu est assez rapidement bouclé, mais on revient bien évidemment dessus, en quête du high score !

Chaque jeu bénéficie d'un univers graphique et sonore propre, même pour 5 secondes, ce qui en soi est une performence au vu du nombre de jeux dans chaque épisode...

Récemment est sorti le Warioware : Do it yourself qui nous permet de créer de manière très complète nos propres mini jeux.

 Dans les recyclages de la série, on note l'apparition du monde Warioware.inc dans Super Smash Bros Brawl, ainsi que quelques musiques qui vont avec le stage.

Fin de ce test flash, pour combler le manque d'articles en ce moment...
Moi j'ai une excuse, je suis malade depuis plus d'une semaine, alors allez râler auprès de Caribbean !

La série Phoenix Wright

Phoenix Wright : Ace Attorney, ou Gyakuten Saiban : Yomigaeru Gyakuten chez nos amis Japonnais, est une série sortie initialement sur GameBoy Advance uniquement au Japon, et sur DS quelques années plus tard sur le continent américain et chez les européens. Il y a eu aussi portage sur l'AppStore (pour iPhone et iPod) et sur WiiWare. A noter que la version GBA comporte une affaire de moins que les autres versions, mais ce n'est certainement pas la meilleure...
La série Phoenix Wright : Ace Attorney est composée de trois épisodes. Appollo Justice : Ace Attorney est souvent considéré comme le Phoenix Wright 4, et la série des Miles Edgeworth a pris la relève.


Voici donc le récapitulatif de la série Ace Attorney :


  • Phoenix Wright : Ace Attorney
    • Phoenix Wright : Ace Attorney
    • Phoenix Wright : Ace Attorney : Justice For All
    • Phoenix Wright : Ace Attorney : Trials & Tribulations  
  • Appollo Justice : Ace Attorney
  • Ace Attorney Investigations
    • Ace Attorney Investigations : Miles Edgeworth
    • Ace Attorney Investigations 2 (Titre inconnu, car il sort uniquement le 3 février au Japon)

Pour la simple raison que les autres opus n'ont pas été entre mes mains, l'article ne traitera que des opus "Phoenix Wright".
Boîtiers des trois opus des Phoenix Wright

Tout l'intérêt de la série Phoenix Wright repose dans son originalité : Incarner un Avocat de la Défense. Mais ne pensez pas que vous, amateur de scène de combat effreiné et de suspense insoutenable, car tous ces points sont bien présents dans les jeux...
En effet, chaque procès devient un réel combat à mort pour son client, dont on doit prouver l'innocence. La plupart du temps, et même chaque affaire traitera d'un meurtre (sauf une, mais qui mène quand même à une meurtre...).

L'action se découpe véritablement en deux types de phases :

-L'enquête, où l'on doit découvrir les circonstances du crime, en apprendre plus sur notre client, et surtout découvrir des indices ou des preuves qui serviront à faire parler les personnages que l'on croise lorsqu'il nous cachent quelque chose (ce procédé est surtout utilisé dans le 2 avec le Magatama de Maya), mais aussi à faire pencher le procès en notre faveur.

-Le procès, où l'on doit démonter les témoignages de l'accusation, en attaquant le témoin, ou en lui présentant des preuves dévoilant de manière incontestable son mensonge.

Phoenix Wright, héros de la série
La plus intéressante des deux phases est incontestablement le procès, mais l'enquête se révèle très intéressante et permet de mieux aprécier le procès. Un parfait équilibre entre les phases de jeux, donc...

Les protagonistes sont tous charismatiques au plus haut point. On a le héros, Phoenix Wright, jeune avocat de la défense, le procureur (de chaque jeu), en passant par l'inspecteur, l'assistante de Phoenix...

En voici la liste :

  • Tous les opus :
    • Phoenix Wright, le héros, jeune avocat de la défense, entrant dans le métier dans le premier opus, a tout appris de Mia Fey.
    • Mia Fey, mentor et amie de Phoenix, avocat de la défense, elle utilise un procédé... spécial pour parler à Phoenix, à partir de la deuxième affaire du premier épisode. Grande sœur de Maya Fey
    • Maya Fey, assistante et amie de Phoenix, petite sœur de Mia Fey, on la rencontre à cause d'une sombre affaire...
    • Dick Tektiv, inspecteur de la crime, il est toujours sur les affaires de Phoenix, sans le vouloir.
    • Le Juge, avec sa barbe interminable, il n'a pas le sens de l'humour le plus développé qui soit, et se laisse trop influencer, mais il rend toujours le bon verdict.
  • Premier opus :
    • Benjamin Hunter, procureur, se retrouve sur toutes les affaires de Phoenix, son grand rival, à part la quatrième. Il a parfois recours à des méthodes pas très honnêtes...
    • Paul Défès, grand ami de Phoenix, c'est sont premier client, il réussit toujours à se mettre dans les pires situations imaginables...
    • Eva Cozésouci, témoin de la quatrième affaire, qui deviendra un exellent ami de Phoenix...
    • Manfred von Karma, mentor de Benjamin Hunter, procureur de génie, n'a pas perdu un seul procès en 40 ans... s'occupe de la quatrième affaire.
  • Deuxième opus :
    • Pearly Fey, petite cousine de Maya, ayant vécu tout se vie à Kurain, le village natal de Maya, elle ne connaît pas la vie civilisée actuelle... Elle s'attachera très vite à Phoenix.
    • Eva Cozésouci, elle a à peu près le même rôle que dans le premier épisode, toujours à s'attirer des soucis...
    • Franciska von Karma, fille de Manfred, procureur à partir de l'âge de 13 ans, s'occupe d'à peu près toutes les affaires du jeu.
  • Troisième Opus :
    • Pearly Fey, comme dans le deuxième opus...
    • Paul Défès, comme dans le premier opus, il tente de trouver sa vocation...
    • Godot, mystérieux procureur, semble connaître Phoenix, et le haïr, mais lui, ne le connaît pas... Grand amateur de café, il porte un casque, pour des raisons obscures... 
La liste n'est peut être pas complète pour des raisons de spoil et de surprise...


Le jeu en mains, on est face à une série de dialogues, qui constituent en réalité tout le jeu... Cela peut rebuter les joueurs, car on est finalement plus spectateur qu'acteur... mais on se sent vraiment dans la peau du héros, et on se sent vraiment impliqué dans le déroulement de l'histoire...
Aucun intérêt d'y jouer si vous ne savez pas lire... mais si vous ne saviez pas lire, vous ne seriez pas là, non ?



Mia Fey, mentor de Phoenix
Les jeux se retrouvent immersifs au possible, nous mettent dans un état de stress incroyable, et, lorsqu'on a trouvé les contradictions dans le témoignage de la personne en face de nous, on prend un plaisir fou à taper sur son bureau, pointer du doigt sa console et de crier "Objection !". On se sent menacé par les objections du procureur, et on est surpris par les arguments qu'ils nous présentent...

Le jeu se révèle touchant pas moments, mais avec des pointes d'humour très bien pensé, et de très bon goût (ne serait-ce que la première affaire du premier épisode, lorsqu'on démasque le coupable...).

Le tout est pimenté par des musiques incroyables dans les trois opus, bien que toutes différentes entre les épisodes. En effet, malgré des voix françaises parfois étranges, les musiques nous mettent parfois la pression, la peur, et on est heureux d'entendre la musique de la révélation, lorsqu'on perce le secret du témoin...



Au fur et à mesure d'avancer dans cette drogue qu'est Phoenix Wright, on s'apercevra que des signes deviennent malgré eux des symboles du jeu, comme le doigt pointé vers le témoin ou le procureur, la façon que Phoenix a de tenir une feuille de dossier, ou bien encore la petite bulle avec marqué "Objection !!!" dedans, lorsqu'on en émet une...


L'inimitable doigt pointé de Phoenix
Les animations des personnages sont assez saccadées, mais on a des sprites énormes (plus de la moitié de l'écran) et des animations complètes. Ainsi, tous les protagonistes pourront dire oui/non de la tête, manifester leur étonnement, leur douleur, leur joie, leur mécontentement, leur désaccord, bref, tout...


Le jeu jouit en plus d'un suspense respectable. En effet, c'est un véritable plaisir de découvrir la vérité que lors du procès, et de devoir improviser durant toute la séance et de démasquer le coupable à la fin, grâce à une ultime objection, et de se prendre pour le Dieu des avocats et des inspecteurs...


Les Phoenix Wright nous prendront beaucoup de temps à finir, mais ils passent beaucoup trop vite... Cela est surtout du au fait que l'on perd la notion du temps... On a l'impression que tout a passé très vite, alors que cela a pris des heures...


Bref, Phoenix Wright est un des must du jeu vidéo, au même titre que les Layton, Lock's Quest... sur DS. Il ne souffre de presque aucun défaut, à part le fait qu'il ne s'agisse uniquement de dialogues, ce qui peut en rebuter certains, mais il ne fera que nous surprendre et en bien. Entre retournements de situation, surprises, moment d'attente insoutenable, soulagements, vous en aurez pour votre argent.


Un jeu à ne pas rater, ne serai-ce que pour son originalité, et prions pour qu'ils en sortent encore...

    Lock's Quest

    C'est sur DS que 5th Cell nous aura pondu cette perle : Lock's Quest.

    Malheureusement méconnu du grand public, il en reste malgré tout l'un des meilleurs jeux de la DS !

    La démo du jeu était disponnible sur la Chaine Nintendo de la Wii.


    Le concept du jeu, même s'il reste relativement classique, est intéressant.
    Il s'agit en effet d'un mélange entre Tower Defense, Gestion et Action lors des phases de "combat", et ressemble à un RPG de par son déroulement, son scénario et ses déplacements (la comparaison s'arrête là !) lors des phases de "balade".

    Vous incarnez notre ami Lock, qui est un apprenti architech ayant de l'ambition. Dès le début du jeu, vous rencontrerez un personnage très important, car il s'agit d'un autre architech, qui est gravement blessé, qui vous prévient que le village où vous vous situez va devoir essuyer une vague d'automates : les ennemis du jeu.
    Ainsi, vous apprenez les bases du jeu, et vous ferez avancer l'histoire, qui, même si trop courte, est vraiment intéressante et assez peu prévisible.
    Le background du jeu se montre plutôt intéressant et assez fouillé. Mais on vous laisse le découvrir.

    Vous aurez donc affaire à des retournements de situation plutôt inattendus, des passages émotion et tout ce qui suit.

    Passons au gameplay pur : Il constitue la majeure originalité du titre.

    Phase de construction
    Dans un premier temps, le but est de construire des murs, canons, portes, mais aussi placer des pièges... pour retarder l'avancée des ennemis. C'est la phase de construction.
    Ces phases sont timées, donc en temps limité, pas question de prendre une demie heure pour choisir le bon stratagème à chaque fois !

    Phase d'action
    Mais tout cela ne suffira pas à essuyer la vague entière, et on ne doit pas rester sans rien faire pendant l'assaut ! Ainsi, on remarque la présence d'un système extrêmement bien pensé : les phases d'action.
    Durant ces phases, vous devrez aller sur le terrain et gérer vos constructions, tout en combattant l'armée ennemie. Vous devrez donc réparer les murs, les canons, mais aussi protéger les objectifs et repousser les vagues ennemies.

    Ensuite, après avoir repoussé la première vague d'ennemis, on doit réparer, reconstruire, replacer les pièges pour se préparer à la vague suivante, et ainsi de suite, jusqu'à ce que le scénario ne daigne avancer.

    A chaque fois, l'objectif est de protéger une personne, un puit, un bâtiment...

    Au fur et à mesure que l'on avance dans le jeu, on débloque de nouveaux matériaux, plus résistants, de nouveaux canons, pièges...

    Au niveau de la jouabilité, elle est très efficace, et utilise la stylet sans en abuser, mais il est bel et bien nécessaire pour faire une prestation efficace.
    On débloque aussi de nouvelles attaques et de nouveaux pouvoirs, tous en effectuant des manipulations au stylet différentes.

    La durée de vie a déjà été abordée, il est clair que le jeu aurait pu être plus long, et on ne voit pas le scénario défiler, même s'il s'y passe beacoup de choses ! Le jeu nous contente quand même de sa durée de vie.

    Les graphismes sont satisfaisants, et assez particuliers, surtout la skin de Lock (durant les phases de dialogue) est très surprenante.

    Les musiques du jeu sont simplement exellentes. On se retrouvera forcément à fredonner la mélodie en plein jeu.


    Pour conclure, Lock's Quest est un jeu unique en son genre, qui ne peut faire que des heureux, mais qui n'est malheureusement pas assez connu, alors qu'il le mérite largement. Il s'agit ici d'un équilibre parfait entre action, dialogues, émotions... Mélangeant des musiques exellentes, des graphismes satisfaisants, une jouabilité très bonne et un gameplay unique, il n'y a aucune raison qu'il ne fasse pas partie de votre ludothèque DS.

    Tip :
     En effectuant une certaine manipulation lorsqu'on a fini le jeu, on peut débloquer une salle secrète (Developpers' Room) qui est assez mystérieuse en raison d'événements inexplicables... On peut se faire tuer pour de faux en répondant non au premier garde, pour avoir la musique de la mort du héros, on croise aussi sans arrêt l'ours en peluche de notre petite sœur dans les différents tableaux, et un personnage nous donne un code, qui ne nous est apparamment d'aucune utilité, et qui est commun à tout le monde... Etrange... 

    Mushroom Kingdom Fusion

    Avis à tous ceux qui ont rêvé de pouvoir controler Sonic dans l'univers de Mrio, ou bien Samus dans l'univers de Castlevania ou encore, enchaîner les niveaux de Contra avec Megaman, et bien d'autres, on a trouvé ce qui va peut-être devenir la référence du crossover gratuit : Mushroom Kingdom Fusion.

    Mushroom Kingdom Fusion (que l'on va désormais nommer MKF) est, à la base, un petit projet qui n'avait aucune prétention, impliquant Mario dans un univers tout à fait inédit.

    Mais le projet prend vite de l'ambition, une équipe entière se met sur le projet, et bientôt, donnera ce qu'il est devenu.

    Encore à l'état de projet, il est dispo en démo.

    Le plus surprenant dans le jeu est la diversité, ce qui est aussi son originalité.

    En effet on peut y contrôler nombreux personnages très connus (Mario, Sonic, Samus, Simon Belmont, Link, Megaman...) dans tous les stages du jeu.

    Chaque monde représente un univers, parfois très bien pensé. (Dans un monde, on est sur la terre et lorsqu'on est sur le niveau comme l'Egypte par exemple, on tombe sur un niveau égyptien).

    Malheureusement, ce qui peut faire peur, c'est que le projet souffre de la folie des grandeurs et veuille en faire trop, pour finalement tout gâcher...

    Mais rien ne nous dit ceci.

    En démo, nous avons la possibilité de faire n'importe quel niveau (qui a été fait, car ils ne sont pas tous finis bien entendu).

    A l'heure qu'il est, nous ne pouvons qu'attendre la fin du projet avec impatience, et de voir le résultat.

    Star Wars : Le Pouvoir de la Force 1


    Star Wars, Le Pouvoir de la Force (Star Wars The Force Unleashed en Anglais) est un jeu d'action développé par LucasArts en collaboration avec ILM, ce qui veut dire Industrial Light & Magic (ça veut dire Lumière Industrielle et Magie en Français).
    Le jeu est sorti en Septembre 2008 sur les consoles de salon Wii, PS2 et PS3 et Xbox360 et aussi sur Nintendo DS et PSP.
    L'histoire suit de près celle de Georges Lucas, voir même de très près. Ce jeu eu une suite qui est en faite Le Pouvoir de la Force II qui est sortie en Octobre 2010.Ce jeu n'est pas une partie de l'histoire de Georges Lucas, en effet ce jeu ce passe entre l'episode n°3 (la revanche des siths) et 4 (un nouvel espoir), où Dark Vador prend un apprenti sous son aile.

    Les Personnages de ce jeu sont:
    -Galen Marek, plus souvent appelle Starkiller, est le personnage que vous interprété et aussi apprenti secret de Dark Vador.
    -Dark Vador, seigneur site responsable de l'armée impériale.
    -Empereur Palpatine ou Dark Sidious, empereur de l'Empire galactique .
    et d'autres personnages mais moins important, ce sont surtout des jedis ayant survécus à l'ordre 66.

    Maintenant les Ennemis du jeu:
    -Stormtrooper, soldats de l'armée impériale.
    -Feluciens, ennemis assez puissant découvert sur la planète Felucia et capable de dresser des Rancors (Gigantesques créatures très puissantes)
    -Les Rodiens sont de redoutables chasseurs de prime traversant la galaxie a la recherche de travail
    -Wookiees, rencontre sur la planète Kashyyyk, sont de très puissants guerriers
    et bien d'autres ennemis aussi redoutables les uns que les autres a découvrir dans ce jeu.

    Au fil de cette aventure, vous visiterez plusieurs planète comme Bespen (la Cité des Nuages), l'Empirique qui est un vaisseau-prison impérial et non une planète, la planète natale des Wookiees qui est Kashyyyk, et d'autre encore mais aussi des missions bonus sous formes de contenu a télécharger qui débloqueront des lieux specials comme les vestiges du temple jedi sur Coruscant et 2 autres missions.

    L'aventure commence sur la planete des Wookiees, pour ce debut vous incarnez Dark Vador mais pour le reste de l'histoire vous jouez avec l'apprenti, Dark Vador a appris qu'un chevalier Jedi était réfugié sur cette planète et que les wookiees le protège, ce Jedi s'appelle Kento Marek le pere de l'apprenti. Une fois que Dark Vador est tué le père, il voit le potentiel de son fils et tue les impériaux qui étaient avec lui et le prend comme apprenti.
    Au fil de l’aventure, pour allez vers les lieux vous vous déplacerez avec le vaisseau espion de l'apprenti du nom de Rogue Shadow qui est dirigé et contrôlé par une femme (et oui).
    Le jeu sur Wii comporte un autre mode de jeu, et c'est juste sur cette console, un mode Versus où vous pouvez incarne un jedi (Obi-wan ...) ou même un sith (Dark Vador ...).
    Les graphismes sont corrects pour la Wii, les arènes suivent bien le theme de Star Wars et la musique est tout aussi bien.

    Another Metroid 2 Remake

    Aujourd'hui, on va faire un peu de pub.

    Il y a de cela quelque temps, je visionnai la vidéo de "Mr1d100" de son petit nom actuel, qui traitait d'un projet amateur se nommant "AM2R" pour Another Metroid 2 Remake.

    Possédant le jeu, je m'intéresse particulièrement au projet amateur, car le jeu original souffrait de quelques défauts qui entâchaient le soft pour pas grand chose...

    Et que vois-je ? Mon voeu exaucé !
    Le projet AM2R est, comme son nom l'indique, un projet tentant de gommer les défauts du jeu Metroid II : The Return Of Samus, pour en faire un jeu plus complet, plus joli, avec de meilleures musiques, et avec une inertie de gameplay plus intéressante !

    Je ne peux donc qu'adorer ce projet, et espérer que tout ceci se termine réellement, car il ne s'agit que d'une seule personne derrière tout ça : DoctorM64.

    Et ce DoctorM64 ne s'y connaît pas vraiment en programmation, il a tout d'abord commencé avec Game Maker, puis a commencé à le modifier et l'a finalement mis à sa sauce, pour donner le projet.

    On ne peut que saluer ce geste et cette patience, surtout que le résultat devrait n'en décevoir aucun. Le but fixé étant de faire un gameplay et des graphismes à la Zero Mission, des items à la Super Metroid, et tout ça dans le contexte de Metroid 2.

    Une toute nouvelle démo est disponible sur des sites d'hébergements et permet de tester ce que pourrait donner le résultat final. Le créateur a aussi son Blogger.

    Des trailers de la nouvelle démo et du futur jeu complet (espérons le !) sont disponibles :




    Un billet fait à l'arrache car j'avais envie, que je veux faire de la pub à ce projet et au testeur, et que je suis dans mon trip Metroid ! Necrous

    NCIS

    NCIS Enquête spéciale, série crée par Donald Paul Bellisario et Don McGill et produit par Paramount Television, fut diffusée pour la première fois au Etats-Unis le 23 Septembre 2003 sur le réseau CBS.
    La série fut arrive en France le 3 Mars sur M6, chaîne sur laquelle elle est toujours diffusée.
    NCIS signifie Naval Criminal Investigative Service, ce qui donne en Français Service d'enquêtes criminelles de la marine.
    C'est une série policière qui mélange à la fois humour et action.
    Pour l'instant nous sommes a un total de 8 saisons soit 162 épisodes qui dure entre 35 et 50 minutes, en France nous sommes a la 7eme saison.
    L'équipe du NCIS de la saison 1 & 2
    Les personnages sont:
    -Agent Spécial Leroy Jethro Gibbs, interprété par Mark Harmon, personnage principal.Il compte plus sur son instinct que sur des preuves.
    -Agent Spéciale Caitlin Todd ou plutôt appelé Kate, interprété par Sasha Alexander, au debut dans les services secrets puis ensuite dans le NCIS.
    -Agent Spécial Anthony D. DiNozzo Jr., interprété par Micheal Weatherly.
    -Agent Spécial Timothy McGee, joué par Sean Murray, le personnage entrera dans la serie au debut de la saison 2.
    -Agent Spéciale Ziva David, interpréte par Cote de Pablo, agent de liaison du Mossad puis agent du NCIS,elle fera son entrée au debut de la saison 3.
    -La scientifique Abby ou Abigail Sciuto, interprété par Pauley Perrette, specialiste en technique de laboratoire
    -Le docteur Donald Mallard, joué par David McCallum, le medecin legiste de l’équipe
    -La directrice Shepard, jouée par Lauren Holly, Directrice qui rentra au début de la saison 3.
    Equipe du NCIS de la saison 3 à 5


    Cette serie fut dérivée du JAG(qui veut dire Judge Advocate Géneral, ce qui donne en français, Corps du juge-avocat general (juge qui s'occupe des affaires impliquants differentes armées américaine), en effet nous pouvons y retrouver certains personnages de NCIS (Gibbs, DiNozzo ...)
    Le F.B.I., Les gardes-côtes américains, les services secrets et la C.I.A. pourront être avec le NCIS sur certaines enquêtes, le plus souvent c'est le F.B.I.

    La série débute par le décès d'un caporal après un repas avec le président à bord d'Air Force One, sous les yeux des Services Secrets.Gibbs et son équipe devront donc coopérer avec les services secrets pour cette enquête.
    C'est à ce moment là que l'agent Caitlin Todd devient membre du NCIS, puis elle décéda a la fin de la saison 2, tuée par le frère de Ziva. Gibbs et son equipe devront tout faire pour traquer l'assassin de Caitlin.
    Le premier épisode de la saison 2 (épisode: La Rançon),McGee fait son entrée dans la série, ainsi surnommé "Le bleu" par DiNozzo.

    Le fil (hitsoire) des saisons:

    Saison 1:Le fil démarre lorsque qu'un mystérieux terroriste prend en otage le Dr Mallard, son assistant et Kate.Dès lors Gibbs le traquera jusqu’à l’épisode final où il découvre son nom: Ari Haswari, mais, il y a un problème, il découvre aussi qu'il est un agent double protégé par le F.B.I.

    Saison 2:L'histoire de la saison 2 reprend celle de la saison 1.L'intrigue "Ari", on ne le revois plus sauf à l’épisode final (épisode: in extremis) ou il tend un piège a l’équipe et tue l'un de ses membres.(Kate)

    Saison 3:Le fil continue, Ari a tenté de tuer Gibbs mais celui-ci fut sauvé par Ziva, puis il apprend que c’était le frère de Ziva. Ziva rentre au NCIS officiellement au 4eme épisode (épisode: Tresors de Guerres)mais reste tout de meme un agent de liaison du Mossad.

    Saison 4:La saison 4 tourne surtout autour de Tony et sa nouvelle petite amie Jeanne (encore ?!?)
    La saison 4 a un autre fil, celui d'un trafiquant d'armes et la directrice Shepard avec qui elle a beaucoup de rancœur. L’épisode final relie les deux affaires et Tony découvre la relation avec Jeanne et le trafiquant d'armes .

    Saison 5:Le fil de cette saison reprend celle de la saison 4, les 2 premiers épisodes concluent l'affaire entre Le trafiquant d'armes, Jeanne et Tony, puis à la fin de cette saison, la directrice décéda dans un règlement de comptes à Los Angeles (épisode: Le jugement dernier)

    Saison 6:Le fil concerne la présence d'une taupe au sein du NCIS, dévoilant a des terroristes des informations capitales pour le Pays.On decouvre que c'est en fait l'agent Lee, avocate et ex-agent.
    Ce fil est conclus assez rapidement pour laisse place à un autre centré sur Ziva, qui se finis par son retour en Israël.
    Au final NCIS: Enquêtes Spéciales est l'une des meilleures séries mondiale avec un fil à toute les saisons.Une serie est aussi dérivée de NCIS: Enquêtes Spéciales, il s'agit de NCIS: Los Angeles.